A propos

Une passion que j’ai hâte de vous faire découvrir !

Tout a commencé en 1979, lors d’un stage de fin de première année de BTS Électrotechnique, où j’ai plongé dans l’univers fascinant de la logique programmable. Ce fut une révélation, le point de départ d’une carrière dans les automatismes et, sur le plan personnel, d’une passion dévorante pour l’informatique (mon premier PC ? Un TRS-80 en 1980 !), l’électronique, la domotique, les objets connectés et les nouvelles technologies. Aujourd’hui, retraité depuis début 2019, je me lance dans une nouvelle aventure : partager avec vous mes connaissances et mes expériences, modestes mais sincères, à travers ce blog. Sans chichi ni prétention, j’espère qu’il sera simple, pratique et utile à ceux qui, comme moi, aiment bidouiller et explorer.

Et quand je ne suis pas devant un écran ou un circuit, vous pourriez me trouverer sur mon VTT – d’où la photo ! »

Historique

Lorsqu’en 2015, j’ai souhaité domotiser ma maison, j’ai commencé par installer Domoticz sur Rapsberry connecté à un module de transmission 433hz RFCom qui interrogeait une poignée de capteurs de température disposés dans la maison. C’est une fois familiarisé avec le produit que j’ai cherché une solution pour piloter mes volets roulants commandés par des interrupteurs Legrand avec un protocole propriétaire « In One ». Rien chez Domoticz, il me fallait trouver un autre logiciel.

C’est Jeedom qui m’a apporté la solution avec le plugin « Boxio » développé par apages.

J’ai donc basculé ma domotique sur Jeedom qui fonctionnait très bien jusqu’au drame: le plantage du RPI.

L’évolution

Suite au plantage du RPI, j’ai fiabilisé mon installation par la mise en place d’un barbone Shuttle XS35-V2 équipé d’un SSD de 250GO, d’une distribution linux Débian et bien sur de Jeedom.

Pour m’affranchir des coupures de courant qui peuvent se révélées dévastatrices, j’alimente mes systèmes via un onduleur Eaton Ellispe ECO 800.

La migration

Depuis quelques années, mon Jeedom ronronnait gentiment, sans problème majeur, il était stable mais je commençais à m’en lasser, pas d’évolution majeure, une communauté limitée à la francophonie, peu d’ouverture.
Mon départ en retraite m’a libéré du temps, et j’ai découvert Home Assistant et son formidable potentiel.
Un rapide essai sur RPI3 a fini de me convaincre.Je me suis lancé et commencé la migration vers HA sur un RPI4 4GO, un SDD 110GO, un boitier refroidissement passif en aluminium, une image officielle 64 bits.

Dans un premier temps j’ai connecté mon RFXtrx433E, me permettant de gérer mes volets Somfy RTS, puis migrer mes ESPEASY vers ESPHOME et enfin je me suis équipé d’une clé zigbee Conbee2 gerée par ZHA.

Plusieurs fois je me suis retrouvé avec un problème d’enregistrement dans la BD MariaDb sans vraiment trouvé la raison, je rebootais et ça refonctionnais.

En Aout 2021 j’ai migré mon installation vers NUC5CPYH avec ses 4GO et son disque SSD de 110G acheté sur Ebay. J’ai chargé l’image officielle sur le SSD, booté sur le SSD, récupéré ma sauvegarde et l’ensemble fonctionne depuis sans encombre. C’est pas une bête de course mais il fait le job.

Cette configuration est stable et fonctionne depuis sans souci.

Edit du 13/02/2022

Je viens de migrer l’installation sur un Lenovo M73 I5 4 GO + SSD 250 MO, c’est nettement plus performant!

Edit du 22/03/2025

Une nouvelle étape pour mon installation domotique

Depuis fin 2023, j’ai franchi une étape importante dans mon aventure domotique : la migration de mon installation Home Assistant (HA) vers Proxmox, une plateforme de virtualisation open-source qui m’a tout de suite séduit. À cette occasion, j’ai externalisé certains modules complémentaires de Home Assistant Operating System (HAOS) pour les intégrer directement dans Proxmox, optimisant ainsi mon setup. Mon serveur tourne sur un PC équipé d’un processeur i5 ancienne génération et 24 Go de RAM. Ce n’est peut-être pas le plus économique en termes de consommation électrique, mais les performances sont au rendez-vous, et pour un passionné comme moi, c’est ce qui compte !

Pour assurer la sécurité de mes données, je réalise des sauvegardes quotidiennes sur un Lenovo M73 reconditionné, que j’ai transformé en Proxmox Backup Server – une solution simple et efficace pour protéger mes conteneurs et mes VM.

Ci-dessous, une capture d’écran de mon interface Proxmox, où vous pouvez voir les différentes machines virtuelles (VM) et conteneurs (LXC) que j’ai configurés. Cette organisation me permet de tout centraliser et de garder un contrôle total sur mon écosystème domotique.


À propos de la capture d’écran de Proxmox

La capture d’écran montre l’interface « Centre de données » de mon Proxmox Virtual Environment 6. On y voit une liste de machines virtuelles (VM) et de conteneurs LXC hébergés sur mon serveur, nommé « pve ». Voici un aperçu des éléments clés visibles :

  • Conteneur 100 (Home-Assistant) : C’est le cœur de mon installation domotique, où Home Assistant gère toutes mes automatisations et appareils connectés.
  • Autres conteneurs utiles : Node-RED (102) pour créer des flux d’automatisation visuels, InfluxDB (103) pour stocker mes données, MQTT (104) pour la communication entre appareils, ou encore UptimeKuma (108).
  • Services complémentaires : Des conteneurs comme Prometheus (105), Nginx Proxy Manager (106), ou Grafana (101) me permettent de superviser et de visualiser les performances de mon système.
  • Proxmox Backup Server (pbs2) : Mon Lenovo M73 reconditionné, dédié à la sauvegarde quotidienne de mes données.

Cette configuration illustre bien la flexibilité de Proxmox, qui me permet de gérer à la fois Home Assistant et tous les outils annexes dans un environnement virtualisé, stable et performant.

Contact

Si besoin vous pouvez me contacter par mail crochonremy@gmail.com je me ferai un plaisir de vous répondre.